Quel imc pour une femme de 50 ans ? - CalculerSonIMC
Morphologie & Corps

Quel imc pour une femme de 50 ans ?

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50 ans est un âge « phare » chez les femmes. La ménopause commence à apparaître, le corps change, l’organisme également. Ces changements peuvent venir engendrer des problèmes esthétiques et/ou de santé. Qu’ils soient simplement dérangeant ou bien dangereux, vous pouvez avoir le désir de chercher à vous rapprocher le plus possible de votre imc normal, de manière à limiter les risques. Vous devez donc savoir quel est le bon imc pour une femme de 50 ans. 

Réaliser le calcul imc 

Pour connaître votre indice de masse corporelle, vous devez calculer votre IMC. Celui-ci s’effectue très simplement : taille(*2)/poids en kilos. Cliquez ici pour faire le calcul.

L’imc idéal se situe entre 18.5 et 25, il s’agit de la corpulence normale. S’il est important de réaliser ce calcul imc pour une femme de 50 ans. En effet, le corps des femmes change à cette période cruciale. La ménopause apparaît, l’organisme ne fonctionne plus de la même manière. De ce fait, une prise de poids peut, parfois, être observée, de même qu’une perte de poids, en fonction des femmes. Tout comme la répartition des graisses, qui peut également changer.

Si toutes les femmes ne prennent pas de poids à la ménopause, le corps, lui, change forcément. Un petit ventre peut arriver, car la ménopause entraîne une répartition des graisses plus androïde. A la base, la répartition corporelle des femmes est  gynoïde. Elles prennent du poids au niveau du bas du corps. Mais, les femmes ménopausées ont tendance à prendre du ventre suite au changement de répartition des graisses dans le corps.changement de répartition de la graisse à 50 ans

Les risques d’un imc trop faible ou trop important chez les femmes de 50 ans

Avoir un indice de masse corporelle sain et normal permet d’éviter au maximum les maladies liées à une masse trop importante. Les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), de maladies cardio-vasculaires, ou encore l’apparition du diabète peuvent survenir si vous avez un imc trop important : au-delà de 25.

L’inverse est également très néfaste pour la santé. Un imc de maigreur risque également de raccourcir la durée de vie en développant des maladies tels que les cancers (1).

Vous développez plus de risques d’être malade ou de souffrir de maux dangereux pour votre santé si votre imc ne se situe pas dans la norme. Qu’il soit trop bas ou trop élevé, peut donc mettre en danger votre santé. Dans les deux cas, il est également possible de générer des apnées du sommeil. Ces dernières deviennent un problème médical de plus en plus observé. Ces dangers ont été prouvés par plusieurs recherches scientifiques (2)imc pour une femme de 50 ans

Comment avoir une corpulence normale à 50 ans ?

Le calcul de l’imc n’étant qu’un indicateur, le premier geste à faire est de prendre rendez-vous chez un médecin. Ce dernier saura vous diriger vers les bons gestes à avoir, notamment dans l’alimentation, quel que soit votre but : prendre du poids ou en perdre.

Un rééquilibrage de votre alimentation est nécessaire, de même que la pratique d’une activité physique, qui permettra à votre corps et votre organisme tout entier d’être en meilleure santé.
Une grande part de la santé se passe dans votre assiette. Une alimentation saine et la plus naturelle possible vous sera d’une aide précieuse pour revenir à un imc stable et correct, qui ne menacera pas votre santé.

A l’âge ou le corps change de manière presque aussi significative qu’à la pré-adolescence, il est essentiel de prendre soin de vous et de veiller à ce que votre santé soit optimale. Les test d’imc et de masse graisseuses peuvent ainsi vous donner une idée des changements à réaliser au sein de votre hygiène de vie. En effet, l’imc ne dit pas tout, et vous pouvez avoir un imc se situant trop bas ou trop haut sans pour autant mettre votre santé en danger. C’est la raison pour laquelle un rendez-vous chez un médecin est primordial.

Sources et références

(1) http://ascopubs.org/doi/full/10.1200/JCO.2007.15.6687
(2) https://www.thelancet.com/journals/landia/article/PIIS2213-8587(18)30288-2/fulltext

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